Selon Pnilippe Liria avant de l'utiliser il faudrait penser à ces idées sur le TBI:
- Le TBI doit être au service de l’enseignant et pas l’inverse ;
- C’est notre méthodologie qui doit déterminer l’usage du TBI mais en aucun cas le contraire ;
- Sans une réflexion méthodologique préalable qui définirait l’intégration du TBI dans la classe, le TBI n’est qu’un support onéreux pour une simple projection de PDF ;
- Si les élèves n’apprennent vraiment qu’en communiquant, le TBI ne sera le bienvenu que s’il renforce la communication et l’interaction dans la classe ;
- C’est beaucoup plus pratique que d’avoir à manipuler un tableau, un lecteur CD, un projecteur, un téléviseur… C’est vraiment pratique ;
- Le progrès dans la classe ne vient pas de la technologie mais de la méthodologie : le TBI ne sert à rien si les méthodologies sont dépassées ;
- La valeur d’un outil didactique dépend de son utilité dans la classe, pas de son prix sur le marché ni d’un effet de mode ;
- Le TBI permet de rendre les corrections d’activités beaucoup plus interactives.
- Les élèves ne viennent pas en classe pour se taire devant un écran de projection. Autant aller au cinéma !
- Un écran avec des présentations dynamiques peut maintenir la motivation des élèves une semaine ; en revanche, une dynamique de classe actionnelle où dominent l’interaction et la conscientisation de l’apprentissage maintiendront la motivation pendant toute l’année ;
- Selon le CECR, l’élève est au centre du processus d’apprentissage, pas le TBI ;
- Les élèves adorent. On sent que le TBI crée une nouvelle dynamique qui les motive.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire